Un lieu unique dédié aux créations des artisans locaux.
La Maison des Métiers d’art c’est la promesse de découvrir la Normandie au travers de l’une de ses plus grandes richesses : l’artisanat
80 ARTISANS DE LA REGION
Une boutique de + de 400m2
600 CREATIONS UNIQUES
Céramique – Poterie – Bijoux - Maroquinerie – Peinture – Ferronnerie - Ebenisterie – Verrerie – Photographie…
La Maison des Métiers d’art c’est aussi un lieu d’échange et de partage. Toute l’année venez rencontrer celles et ceux qui façonnent ces pièces si particulières. Participez entre amis ou en famille aux ateliers organisés par ces artistes qui vous dévoileront les secrets de leurs confections
Fruit d’un partenariat important avec la Chambre de Commerce et d’Industrie (CCI) et la Chambre de Métiers et de l’Artisanat (CMA) de l’Eure qui nous fait profiter de leur expertise et de leur parfaite connaissance des artisans de la région, la Maison des Métiers d’Art, située à l’entrée du centre, mettra en lumière les talents de la région dans les domaines de l’art et de la culture française, proposant une nouvelle expérience authentique, reliant la mode et la région Normande.
L’ensemble de l’aménagement intérieur de la Maison des Métiers d’Art ainsi qu’une grande partie du concept ont été développés par Mathieu Lehanneur. À l'avant-garde du design international, il est l'un des rares designers de sa génération à pouvoir embrasser autant de champs de la création : de l'objet à l'architecture, de l'art au produit, de la pièce unique faite main à la technologie. Il innove avec des projets spectaculaires et magiques qui brassent design, science et art pour le mieux-être de ses utilisateurs.
Mathieu Lehanneur est classé parmi les « 100 World top designers and influencers » par les magazines Wallpaper et Surface et est décrit comme le « champion de l'agilité intellectuelle dans le champ du design contemporain » par Paola Antonelli, Senior Curator, Department of Architecture and Design, au MoMA-NY.
Ses projets font parties des plus importantes collections publiques et privées comme celles du MoMA-NY et du SFMOMA, ou du Centre Pompidou et du Musée des Arts décoratifs, Paris.
L’ensemble de l’aménagement intérieur de la Maison des Métiers d’Art ainsi qu’une grande partie du concept ont été développés par Mathieu Lehanneur. À l'avant-garde du design international, il est l'un des rares designers de sa génération à pouvoir embrasser autant de champs de la création : de l'objet à l'architecture, de l'art au produit, de la pièce unique faite main à la technologie. Il innove avec des projets spectaculaires et magiques qui brassent design, science et art pour le mieux-être de ses utilisateurs.
Mathieu Lehanneur est classé parmi les « 100 World top designers and influencers » par les magazines Wallpaper et Surface et est décrit comme le « champion de l'agilité intellectuelle dans le champ du design contemporain » par Paola Antonelli, Senior Curator, Department of Architecture and Design, au MoMA-NY.
Ses projets font parties des plus importantes collections publiques et privées comme celles du MoMA-NY et du SFMOMA, ou du Centre Pompidou et du Musée des Arts décoratifs, Paris.
Quoi de mieux que ses propres mots pour décrire le projet de la Maison des Métiers d’Art ?
Pouvez-vous vous présenter et nous présenter votre projet ?
Je m'appelle Mathieu Lehanneur, je suis designer architecte d'intérieur et je travaille sur un large spectre de projets. Le projet de la Maison des Métiers d’Art a émané de McArthurGlen qui voulait rendre hommage et rendre compte de la vitalité de l'artisanat de la région Normandie et Eure. L'objectif pour moi était d'essayer de ne pas figer le lieu, ni comme une galerie, ni comme juste une boutique, de quitter des typologies un peu classiques et d'essayer de faire une vraie plateforme d'échanges entre les visiteurs et clients de McArthurGlen Paris-Giverny et l'artisanat de la région. Et essayer de faire que tout ce monde-là se rencontre et qu'on comprenne effectivement la richesse de l'artisanat.
Comment décririez-vous le lieu ?
De grandes tables comme des établis, une forêt digitale pour découvrir les artisans locaux, un auditorium vitré pour apprendre et échanger, des disques miroirs suspendus pour changer de point de vue… Ce nouvel espace dédié à la création artisanale ne ressemble à aucun autre. Il est un lieu hybride qui met en scène et propose à la vente une large sélection de pièces et d’objets artisanaux. Véritable chaînon manquant entre l’atelier et la boutique, la Maison des Métiers d’Art est une plateforme de valorisation des artisans de Normandie. Dans une démarche de soutien et de mise en lumière des expertises de la région, McArthurGlen offre une opportunité unique de découvrir et d’acquérir des créations locales et singulières. Il s’agit ici de relier le savoir-faire et le donner à voir. Dans un vaste espace ouvert se déployant sur deux niveaux, les visiteurs sont invités à rencontrer des artisans, à découvrir leurs techniques et leur production. Un espace dédié aux enfants proposera également des ateliers de sensibilisation aux techniques et à l’art. Pièces de grandes sophistications ou objets du quotidien, chaque création est unique car directement issue des mains de l’artisan. »
Pouvez-vous vous présenter et nous présenter votre projet ?
Je m'appelle Mathieu Lehanneur, je suis designer architecte d'intérieur et je travaille sur un large spectre de projets. Le projet de la Maison des Métiers d’Art a émané de McArthurGlen qui voulait rendre hommage et rendre compte de la vitalité de l'artisanat de la région Normandie et Eure. L'objectif pour moi était d'essayer de ne pas figer le lieu, ni comme une galerie, ni comme juste une boutique, de quitter des typologies un peu classiques et d'essayer de faire une vraie plateforme d'échanges entre les visiteurs et clients de McArthurGlen Paris-Giverny et l'artisanat de la région. Et essayer de faire que tout ce monde-là se rencontre et qu'on comprenne effectivement la richesse de l'artisanat.
Comment décririez-vous le lieu ?
De grandes tables comme des établis, une forêt digitale pour découvrir les artisans locaux, un auditorium vitré pour apprendre et échanger, des disques miroirs suspendus pour changer de point de vue… Ce nouvel espace dédié à la création artisanale ne ressemble à aucun autre. Il est un lieu hybride qui met en scène et propose à la vente une large sélection de pièces et d’objets artisanaux. Véritable chaînon manquant entre l’atelier et la boutique, la Maison des Métiers d’Art est une plateforme de valorisation des artisans de Normandie. Dans une démarche de soutien et de mise en lumière des expertises de la région, McArthurGlen offre une opportunité unique de découvrir et d’acquérir des créations locales et singulières. Il s’agit ici de relier le savoir-faire et le donner à voir. Dans un vaste espace ouvert se déployant sur deux niveaux, les visiteurs sont invités à rencontrer des artisans, à découvrir leurs techniques et leur production. Un espace dédié aux enfants proposera également des ateliers de sensibilisation aux techniques et à l’art. Pièces de grandes sophistications ou objets du quotidien, chaque création est unique car directement issue des mains de l’artisan. »
En quoi pensez-vous que ce projet va aiguiser la curiosité des visiteurs de McArthurGlen Paris-Giverny ?
Il y a une vraie appétence des visiteurs de comprendre ce qu'il y a derrière un produit. Et il y a une vraie appétence de changer un statut - je dirais - un peu passif du consommateur qui voit une chose sur une étagère et qui la prend et l'achète, vers quelque chose de plus actif où oui, je vais l'acheter, mais je veux savoir ce qu’il y a derrière. Je veux rencontrer la personne qui l’a produite. Je veux savoir comment c’est produit, je veux savoir combien de temps ça prend, pour faire en sorte que tout ça prenne du sens et de quitter aussi juste la question de la fonction.
Est ce qu'il y a une démarche écoresponsable dans le projet de la Maison des Métiers d’Arts ?
Il y a évidemment une démarche écoresponsable parce qu’elle fait partie, de façon absolument inhérente, de l'artisanat. À partir du moment où on considère que l'artisanat, c'est chaque objet qui prend du temps à être produit par une personne identifiée, qui vient en plus de la région, bien évidemment, en termes de traçabilité, de transport, de matériaux utilisés, de quantité d'objets produits, de nécessité versus superficialité des choses, on est déjà absolument dans cette logique-là. Et de remettre l'artisan au cœur du processus, c'est avoir fait déjà ce grand pas de considérer que la consommation commence dans la compréhension de la provenance, la traçabilité et la fabrication d'un objet. Ensuite, sur l'espace à proprement parler, on utilise quasiment à 99% les matériaux réels. Ce que je veux dire, c'est que la pierre, c'est la pierre. On ne lui a pas fait un traitement particulier, elle est brute. Pareil pour le bois. Pareil pour les éléments qui vont être des éléments liés à la céramique, donc déjà montrer la matière dans sa naturalité la plus forte.
De quelle manière la Normandie vous a-t-elle inspiré dans le projet de la Maison des Métiers d’art ?
La Normandie, d'abord, c'est un terreau extrêmement fertile pour l'artisanat. En France, on a la chance d'avoir un artisanat très dynamique et c'est une région où peut-être le dynamisme est « ++ » et avec cette chose aussi qui m'intéresse, ce n’est pas une région qui s'est spécialisée dans une technique ou une matière - ce qu'on peut trouver dans d'autres régions qui, au fil de l'histoire ou du sous-sol, ont fait que l'on s'est concentré sur la céramique - on a une vraie diversité d'artisans dans la région normande et c'est une chose extrêmement importante. Et puis la Normandie - je m'appelle Lehanneur - et j'ai toujours posé la question depuis que je suis tout petit : « mais d'où vient ce nom ? » Et quand je demandais à mes parents, ils me disaient « D'après nos recherches, on est vraiment entre la Bretagne et la Normandie ». Donc, dans mes gènes, j'ai la moitié du cœur qui est normande. Je dois être une sorte de Mont-Saint-Michel à mi-chemin entre les deux. Alors lorsque McArthurGlen m'a invité pour ce projet, au-delà de l'intérêt intellectuel et créatif, il y avait effectivement sans doute un peu d'affection aussi là-dedans.
Il y a une vraie appétence des visiteurs de comprendre ce qu'il y a derrière un produit. Et il y a une vraie appétence de changer un statut - je dirais - un peu passif du consommateur qui voit une chose sur une étagère et qui la prend et l'achète, vers quelque chose de plus actif où oui, je vais l'acheter, mais je veux savoir ce qu’il y a derrière. Je veux rencontrer la personne qui l’a produite. Je veux savoir comment c’est produit, je veux savoir combien de temps ça prend, pour faire en sorte que tout ça prenne du sens et de quitter aussi juste la question de la fonction.
Est ce qu'il y a une démarche écoresponsable dans le projet de la Maison des Métiers d’Arts ?
Il y a évidemment une démarche écoresponsable parce qu’elle fait partie, de façon absolument inhérente, de l'artisanat. À partir du moment où on considère que l'artisanat, c'est chaque objet qui prend du temps à être produit par une personne identifiée, qui vient en plus de la région, bien évidemment, en termes de traçabilité, de transport, de matériaux utilisés, de quantité d'objets produits, de nécessité versus superficialité des choses, on est déjà absolument dans cette logique-là. Et de remettre l'artisan au cœur du processus, c'est avoir fait déjà ce grand pas de considérer que la consommation commence dans la compréhension de la provenance, la traçabilité et la fabrication d'un objet. Ensuite, sur l'espace à proprement parler, on utilise quasiment à 99% les matériaux réels. Ce que je veux dire, c'est que la pierre, c'est la pierre. On ne lui a pas fait un traitement particulier, elle est brute. Pareil pour le bois. Pareil pour les éléments qui vont être des éléments liés à la céramique, donc déjà montrer la matière dans sa naturalité la plus forte.
De quelle manière la Normandie vous a-t-elle inspiré dans le projet de la Maison des Métiers d’art ?
La Normandie, d'abord, c'est un terreau extrêmement fertile pour l'artisanat. En France, on a la chance d'avoir un artisanat très dynamique et c'est une région où peut-être le dynamisme est « ++ » et avec cette chose aussi qui m'intéresse, ce n’est pas une région qui s'est spécialisée dans une technique ou une matière - ce qu'on peut trouver dans d'autres régions qui, au fil de l'histoire ou du sous-sol, ont fait que l'on s'est concentré sur la céramique - on a une vraie diversité d'artisans dans la région normande et c'est une chose extrêmement importante. Et puis la Normandie - je m'appelle Lehanneur - et j'ai toujours posé la question depuis que je suis tout petit : « mais d'où vient ce nom ? » Et quand je demandais à mes parents, ils me disaient « D'après nos recherches, on est vraiment entre la Bretagne et la Normandie ». Donc, dans mes gènes, j'ai la moitié du cœur qui est normande. Je dois être une sorte de Mont-Saint-Michel à mi-chemin entre les deux. Alors lorsque McArthurGlen m'a invité pour ce projet, au-delà de l'intérêt intellectuel et créatif, il y avait effectivement sans doute un peu d'affection aussi là-dedans.
Quelques réalisations emblématiques de Mathieu Lehanneur
Thématiques associées
Lire la suite
